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Rideau - 4ième de couverture

Au programme : un cheminement singulier entre suicide bucolique et amnésie salutaire.

 

C’est l’histoire d’une vie qu’on découvre à rebrousse-poil, en commençant par la fin.

C’est l’histoire d’une femme qui dévide le fil de ses souvenirs, pas forcément fidèles.

Un fil de plus en plus ténu qui finit par casser quand la mémoire se refuse à aller plus loin.

 

 

        

Présentation en

30 secondes chrono

pour #1MillionBabelio


Entretien avec Laurence Dumonceau pour Culture BW sur Antipode, 28-30 mars 2020 :

 

Cliquez sur l'image pour partager, en deux minutes, le coup de coeur de la journaliste pour ce roman original et portant à réfléchir qui l'a fait craquer tant par la forme que par le fond.


Entretien avec Eddy Caekelberghs pour l'émission Majuscules du 23 février 2020 sur les ondes de la RTBf radio :

 

Cliquez sur l'image pour découvrir nos échanges sur ce roman que cette pointure du journalisme qualifie de punchy ou choc. Malheureusement pour ceux qui ne disposent que d'Internet Explorer, le podcast de l'émission (curseur à 47'39" pour Rideau) ne semble plus disponible.


Mémo de Jacques Mercier dans l'émission On Air sur Radio Judaïca le 14 février 2020 :

 

Vous pouvez écouter l'émission de cette radio bruxelloise en cliquant sur l'imageEt pour ceux qui ne disposent que d'Internet Explorer ou n'ont pas l'ouïe fine, il reste le blog, de notre Monsieur Dictionnaire  national... qui qualifie le roman d'excellent !

 

 

NB : Myriam Monseur a induit Jacques Mercier en erreur. Je n'ai hélàs pas fréquenté La Grande Librairie aux côtés d'Amélie Nothomb. Par contre, ce sont bien les premières pages de mon livre dont il est question dans son commentaire.  "Ce qui m’a plu immédiatement chez Chantal, c’est son détachement, son ouverture à ce roman où elle raconte, très détendue, le suicide mais en laissant aux auditeurs, la possibilité de la suivre sur ce chemin qu’elle a choisi. Rien n’est choquant, tout nous est ouvert, afin que nous puissions entrer dans cet espace-temps sans fioriture, juste pour dialoguer avec le personnage, elle." 


Article de Françoise Lison-Leroy dans Le Courrier de l'Escaut du 28 janvier 2020 :

Erratum, quatrième colonne: «  la liberté que l'on clame à juste titre à l'heure de #MeToo. » 

Du manuscrit à la publication puis la médiatisation
L'Avenir - Le Courrier de l'Escaut, 28 janvier 2020

Interview mystère publiée le 23 janvier 2021  :

 

Attention ! Lien à n'ouvrir que si vous faites partie des initiés déjà arrivés au bout du roman.

Vous en êtes ? Vous êtes sûr, tout à fait sûr ? Ne gâchez pas tout ! 

Alors, si vous insistez, c'est que ça se passe.


Avis de lectrices et lecteurs:

 

Babounette, 28/6/2023 (sur Babelio) :  

On ne connaît pas son prénom, encore moins son nom, la narratrice partage avec le lecteur des pans de sa vie, à commencer par la fin, tragique. Et puis, elle nous raconte sa passion pour la mer, pour le trekking, ses randonnées avec les copains, ses moments d'étudiante, son travail, sa rencontre avec Hervé, son mariage, ses deux fils. Vous allez me dire : oui, mais que se passe-t-il ? Et bien, tout est dans le décorticage de la personnalité de la narratrice, j'ai personnellement senti dès le début que rien n'était aussi simple qu'il n'y paraît dans sa vie. Sa course effrénée à vouloir se dépasser dans le sport, son détachement vis à vis de ses relations, sa famille dont jamais elle ne parle et quand quelqu'un aborde le sujet la réponse fuse : il n'y a rien à dire. Son affection toute particulière pour Martial-Pierrot (Pierrot par rapport au Pierrot lunaire), petit garçon retiré dans son monde, qui déçoit ses parents parce que "pas comme ils l'auraient rêvé", avec lequel elle se sent des affinités, relation affectueuse qui sera partagée par le gamin qu'elle va apprivoiser à l'étonnement de tous. Et puis quelle fin, j'avais une petite idée, mais pas celle-là !

Chantal Vervaet dans son roman Rideau, analyse la vie d'une femme, psychologiquement, avec des mots qui sous leurs dehors légers sont bien plus que cela. J'ai beaucoup aimé cette lecture sans pathos, les drames font parties de la vie, on met du temps à s'en remettre ou pas, chacun-e a les siens et chacun-e. se débrouille à sa manière pour y faire face. C'est ce que Chantal Vervaet  a fait dans ce roman, décrire le ressenti, les rêves, les peurs, les regrets et les réactions de sa narratrice devant les vicissitudes de la vie.

4,5 étoiles

  

vmouton, 8/6/2023 (message privé sur Babelio) :  

Mes lectures proviennent de la bibliothèque de ma commune. Je lis souvent les livres de l’étagère « coup de cœur » et le vôtre devait y être. Je l’ai lu en 2020. J’utilisais une autre librairie virtuelle. J’avais noté en commentaire que la lecture avait été très agréable.

 

JeanFrançoisAurelien, 10/2/2023 (sur Babelio) :  

Dès le premier acte le rideau tombe comme un couperet de guillotine, après ce début brutal la suite nous raconte une histoire d'amour qui nous ferait presque oublier la tragédie que nous venons de vivre. 4 étoiles

+ en aparté (message privé) : J'ai aimé la force de l'histoire, j'espère que c'est de la fiction pure.

  

moussk12, 28/9/2022 (sur Babelio) : 

La narratrice fixe son choix sur un bel endroit, dans une nature isolée, afin de mettre fin à ses jours. Certaine qu'en ce lieu et au moment voulu, personne ne viendra l'interrompre. Il n'est pas question de rater sa mort. Après tout, on n'en a qu'une ! Et tandis que son sang s'écoule lentement, elle se souvient. Sa jeunesse, les études et les copines, un amour manqué, les regrets, son mari, la famille. Paradoxalement, alors que la vie se meurt, une véritable déchirure de l'esprit vient expulser rancoeur, douleur, remords et tourments, prête pour une renaissance.

Ce qui est fort surprenant dans ce livre c'est que vous n'y trouverez aucun pathos, aucune intonation larmoyante, bien au contraire. La plume y est toute de légèreté en même temps qu'affutée. Les phrases sont courtes et favorisent une lecture rapide. L'auteure fait preuve d'un humour décalé que j'ai adoré.

Ce petit roman d'à peine 100 pages annonce un vrai talent d'écrivain chez Chantal Vervaet. Rideau se ferme sur une fin qui m'a abasourdie et bouleversée. Un vrai coup de coeur.  5 étoiles

 

Maryse Ledent, 15/4/2021 (sur Twitter) : 

Une belle découverte... RIDEAU, Chantal Vervaet - livre, ebook, epub - idée lecture - editions-harmattan.fr/livre-rideau_chantal_vervaet-9782343187143-64312.html

 

Etienne M., 26/7/2020 (par mail) : 

Incapable de sortir de l'histoire. Bravo. Grandiose. Je ne suis pas familier des romans avec un fond psychologique aussi marqué mais tu m'as laissé sur le séant. C'était sur une plage 30 km au sud d'Amsterdam. Je ne peux mal de l'oublier.

J'ai rarement été à ce point déconcerté par un livre. Historiquement, je me rappelle de quelques fulgurances lors de la lecture d'ouvrages philosophiques ou d'Oscar et la dame en rose. J'ai lu Rideau comme Oscar et la dame en rose à l'époque, en reprenant souvent les dernières pages lues, de peur d'atteindre trop vite la fin.

Merci pour cette rencontre avec une femme au parcours pas banal ! Tu as souligné quelques thèmes majeurs de notre société... Oufti, quelle aventure...

J'ai aussi apprécié les notes de bas de pages rigoureuses et certains passages de la vie estudiantine qui m'ont rappelé de bons souvenirs.

Bref, je suis convaincu que c'est une réussite. 

 

Sara, 3/6/2020 (sur Goodreads)  : 

4/5 étoiles

 

Ann Lambert alias Gioto (sur Facebook, commentaire à une publication du 30 mars 2020)  : 

Très bien le roman de Chantal... C'est tout ce que je dirais en plus de ... Lisez-le !

 

DominiqueTJ, 29/3 et 3/4/2020 (sur Babelio, La FNAC et Facebook) : 

Rideau est un roman original dont l'écriture est à la fois directe, fluide, interpellant librement le lecteur dans ses certitudes, laissant place à l'humour, à certains belgicismes (bien expliqués)... Surprenant dès le début puisque c'est la morte qui raconte en fait son histoire aux multiples fêlures et son amour pour la mer. Personnage à la démarche déterminée qui manifeste à la fois une belle présence à soi, à ce(ux) qui l'entoure(nt) et un certain détachement... A lire ! 5 étoiles

 

Ghislaine de Corroy, 27/3/2020 (sur La FNAC)  : 

Histoire plausible avec des gens "ordinaires" vivant des histoires "ordinaires". Bel équilibre entre le fond et la forme. Très agréable à lire malgré quelques mots crus. Entrée en matière originale. L'usage des temps fait que l'on participe pleinement au récit du narrateur. La fin tombe cependant comme une gifle. Un bel ouvrage à transmettre. 5 étoiles

 

Cecidel, 23/3/2020 (sur Babelio) : 

Une écriture fluide, très agéable à lire. Un personnage attachant. Une vie que l'on découvre à l'envers. Un besoin de comprendre pourquoi, comment, la narratrice en est arrivée au suicide. J'ai beaucoup aimé l'originalité du récit (ses cogitations commencent dans son cercueil au crématorium) et l'humour un peu caustique. 5 étoiles

 

Florence C. (par sms) : 

30/12/2019 - Ai entamé la lecture de ton RIDEAU ce matin dans le train. Un vif plaisir et déjà quelques pépites qui m’éclairent : MERCI L’ARTISTE. 

31/12/2019 - Je viens de terminer ton livre : un peu décontenancée par la ligne du temps et la phrase finale qui m’a poussée à crier dans le train un oh ! Suis seule dans le wagon (hihi) : captivant jusqu’au bout et qui fait réfléchir. Chapeau bas !

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

Osez prendre la plume !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le 18 octobre 2020, dans le cadre de « La Fureur de lire », a eu lieu une marche gourmande et littéraire dans les rues de Gembloux. Pour ma part, j’avais prévu d'inviter les badauds à prendre la plume. Malheureusement, les mesures de distanciations sociales liées au coronavirus sont venues limiter le temps d'arrêt autorisé aux stands. Je vous laisse donc le loisir de méditer sur le sujet chez vous...

 



Vous voulez des mots-clés ? En voici plein. Roman court alias novella, roman psychologique, roman philosophique, roman existentiel, roman dramatique, roman suspens, roman féministe : c’est sûr. Roman humoristique, roman sentimental : un peu aussi. Roman développement personnel, roman d’amour : on peut dire ça. Best-seller : pas encore mais l’espoir fait vivre… Roman femme, roman suicide, roman famille : c’est clair dès le départ. Roman autisme, aussi, ou quelque chose du même acabit, et enfin, toute fin, roman inceste. Mais chut !